La Rencontre Des Histoires

C'est officiel !,

ou, sa mere transpercée

par un poignard, c'est génial.

 

Waaaaaaaaaaaaaa !

Quelle lettre ! J'en suis toute retournée ! Nikaji, mon amour, mon prince, l'homme de ma vie, vient de me déclarer sa flamme ! On va pouvoir s'aimer pour le meilleur et pour le pire ! Hou-là Astra, calme toi ! Vous n'êtes pas non plus mari et femme, je me dis, en rougissant. Quelqu’un frappe doucement à la porte. Ma mère entre, de sa démarche si élégante, que je lui envie depuis des lustres. Que j'aurais aimé me déplacer si gracieusement ! J'aurais tellement aimé avoir hérité de cette façon de marcher ! Malheureusement, j'ai hérité de la démarche de mon père. Nous ne sommes pas discrets, au contraire de ma mère et de mon frère. Nous ne marchons pas de cette démarche noble, élégante, légère. Non, nous nous déplaçons de cette façon bourrue, lourde, remarquable, bref, pas tip top face à un ministre. Ma mère vient vers moi, et me caresse la joue avec tendresse.

« Alors ? Me demande-t-elle

-Quoi ? Je réponds, incrédule

-Tu t'en est remise ? Continue-t-elle

-Oui, mais je me demande toujours quelle était la chose qui m'est passée dessus.

-Ah, je suis contente que tu ailles mieux. Cette « chose », comme tu dis, c'était Gypsy. Elle ne pas pas vue, et t'a écrabouillée comme une crêpe. Et voilà le résultat., m'explique ma mère

-Pauvre bête quand même ! Je m’exclame. Maénie la contrôle, et la pauvre bête obéis sans rien comprendre ! Je continue

-Certes, me dit ma mère, mais ce n'est pas , de ça que je voulais te parer.

-Ah, mais de quoi alors ?

-C'est officiel ?

-Quoi ?

-Tu as un petit ami ?

-Ah...Oui, c'est Nikaji, dis-je en rougissant.

-Je suis heureuse pour toi, ma puce. Je t'aime très.... commence -t-elle

Elle ne peut pas finir sa phrase, car un poignard la transperce au niveau de l'abdomen. Je hurle.