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La fée aux ailes dorées

Chapitre 13

-Pas.... Pas de soucis votre majesté, balbutia le nain .

-Merci beaucoup . Bon, vous me conduisez à votre maison, j'ai très envie de boire ce fameux thé moi !!! s’exclama l'impératrice d'un ton joyeux.

-Oui, suivez moi !!! »

 

Le nain, qui s'appelait Firno, suivi de la fée, pénétrèrent dans le village. L'impératrice acheta un bouquet de fleurs modeste chez un fleuriste tout étonné de son choix de bouquet, des éclairs au chocolats chez le pâtissier, un gigot de miagno (l'agneau du coin) chez le boucher, un filet de maleyro (le maquero du coin), chez le poissonnier, un paquet de filiabulles (des bonbons qui, une fois que tu les as avalés, te font faire des bulles lorsque tu parles, et chaque fois qu'une bulle éclate, le mot ou la phrase que tu as prononcé se fait entendre en écho, ce qui, lorsque tu récite ta leçon au prof, par exemple, ça fait un capharnaüm incroyable!) chez le confiseur, une hache magnifique chez le maréchal ferrant et, pour finir, un parfum à la fleur de Liliputie (vous savez, la fleur que le petit poucet doit aller chercher pour pouvoir se fiancer avec la Belle Au Bois Dormant, dans l'histoire « Le petit poucet et la Belle au bois dormant », sur le blog !;]) chez le parfumier . Firno, tout déconcerté par ces achats, ne sut quoi répondre à la fée quand celle ci lui demanda quelle sorte de thé le nain avait chez lui. Firno lui répondit quelque chose comme « Flbbblllfg...Gflllbbff ! », ce qui fit beaucoup rire Nibelli. Arrivés chez le nain, celle-ci du lancer un sort d'agrandissement à sa demeure, car c'était à peine si elle pouvait y rentrer, en se cognant, bien évidemment la tête. Comme l'impératrice riait encore au moment où elle lança le sort, ce n'est pas uniquement la maison qui fut agrandi, mais aussi tout ce qui se trouvait à l'intérieur !!! Ne s'y attendant sûrement pas, Nibelli entra la première, manquant de peu le luste accroché au plafond, qui avait prit la taille d'une petite commode. Firno la suivit, et, bien évidemment, se cogna contre une pelote de laine qui avait pris les proportions d'un ordinateur, refaisant rire la fée.

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