Une fois que les nains furent partis à la mine, Noire-Ebène s’acquitta de ses tâches habituelles, comme dormir ou manger devant la cheminée.

Soudain, trois coups furent toqués à la fenêtre.

Noire-Ebène regarda par la fenêtre et trouva la vieille marchande.

« Désolé, mais je ne dois ouvrir à personne ! Dit le prince.

-Allons, viens mon beau, je vais te peigner tes cheveux », dit la marchande en lui montrant un peigne empoisonné.

Noire-Ebène, méfiant, répondit qu'il devait aller chercher quelque chose à l'étage avant. Lorsqu'il revint, il avait mis ses gants de boxe et frappa violemment la vieille femme avec. Mais la vieille sorcière était résistante, et insista.

Noire-Ebène, inconscient du danger qu'il courait, se laissât peigner par la vieille femme. Malheureusement, dès que le peigne maudit eût touché sa chevelure, le poison le fit tomber, inanimé (eh oui, encore), au sol. La vieille femme s'en alla en ricanant :

 

« Et maintenant, tu as fini d'être le plus beau !!! »